Ce n’est pas une nouveauté, la France manque cruellement de structures pour les enfants de moins de 3 ans. Malgré des chiffres critiques, les parents français trouvent par chance des solutions pour la garde d’enfants.Les chiffres clés sur les besoins de garde en Ile de France.
Si par le passé la garde parentale était privilégiée, les choses ont aujourd’hui évolué. Dans une même famille, les deux parents travaillent et se retrouvent alors confrontés au fait d’avoir recours à la garde d’enfants. Pour ces jeunes parents débordés, il est impossible d’aller chercher leurs enfants à l’école et encore moins de les amener faire des activités extra-scolaires. Horaires décalés, surcharge de travail… chaque jour est une course contre la montre. Ne vous inquiétez pas, Be My Nounou est là pour vous aider !
Entre les années 1990 et 2000, l’accueil de la petite enfance en Ile de France s’est peu à peu dégradé. En pour cause, la fécondité a fait un bond pendant ces années. En 2006, 80 000 bébés sont nés en plus qu’en 1994. Alors qu’il y a une, d’une part, une augmentation du taux de naissance, le taux de scolarisation des enfants à deux ans en maternelle a baissé. Entre 2000 et 2011, il est passé de 35% à 12%. Malgré cette baisse flagrante, les choses se sont nettement améliorées entre 2008 et 2015. Ainsi, la capacité d’accueil en crèche a subi une augmentation de 48,3 à 56,6 places pour 100 enfants. Depuis 2011, cette croissance a toutefois stagné et à l’heure actuelle les solutions de garde demeurent parfois difficiles pour certains parents, voire impossible dans certains cas.
Depuis quelques années, les parents sont confrontés à plusieurs contraintes en ce qui concerne le mode de garde de leurs enfants et les chiffres ne trompent pas. Ainsi, le rapport de l’observatoire national de la petite enfance met clairement en lumière ces difficultés. Selon ce rapport édité en 2015, 61% des enfants de moins de 3 ans sont gardés la majeure partie du temps par un de leurs parents faute d’autres solutions trouvées. Outre la garde parentale, avoir recours à une nounou constitue le mode de garde le plus fréquent (19%). En troisième position, on retrouve les établissements des plus petits (13%). Enfin, la solution de la garde par les grands parents ou un membre de la famille est aussi fréquente. Il s’agit de 3% des enfants. Pour les moins de 3 ans, l’école est le mode d’accueil principal de 3% d’entre eux seulement.
Parmi les modes de garde proposés dans la capitale et ses alentours, la crèche conserve toutefois les faveurs de beaucoup de parents pour les jeunes enfants. Cependant, le nombre de places dans cet accueil collectif est le plus souvent insuffisant pour répondre à toutes les demandes dans Paris. L’anticipation d’une inscription est donc à envisager très tôt dans l’année même si cela ne garantit pas une place. L’accueil collectif (crèches, haltes garderies) propose, de son côté, 428 500 places notamment grâce au développement des micro-crèches. Ces structures ont favorisé l’accueil des jeunes enfants en 2017 selon les chiffres publiés par la CNAF.
En étudiant de près les différentes études réalisées, on s’aperçoit très rapidement qu’il n’y a pas assez de solutions de garde. Les jeunes parents se retrouvent souvent au pied du mur. Le rapport annuel de l’Observatoire nationale de la petite enfance en 2017, confirme cette situation difficile que de nombreux parents connaissent bien. Selon les chiffres de la CNAF (caisse nationale d’allocations familiales), un enfant sur 2 n’a pas de solutions de garde sur les 2,3 millions d’enfants de moins de 3 ans. Ainsi, les parents sont contraints à la « débrouille ». Une solution plutôt courante est de demander à la famille proche comme les grands-parents de s’occuper des enfants. Toutefois, cela n’est pas toujours envisageable dans certaines familles.
Selon les chiffres il y a moins d’une place en crèche pour trois enfants dans de très nombreux départements du sud, du nord et du nord-est de l’Ile-de-France. Alors que certains parents ne trouvent pas solutions d’accueil pour les jeunes enfants, certaines femmes sont contraintes de rester à la maison et de renoncer à travailler ou de choisir un travail à temps partiel. Parfois, elles se contentent aussi d’emplois à temps partiel. Selon une étude réalisée par l’Insee en 2014, 82% des femmes en couple avec un enfant ne sont actives par obligation. On constate finalement que seul 43% mères de familles de trois enfants ou plus sont actives. Dans certaines familles, le constat est encore différent. Un des deux parents doit travailler de façon décalée pour assurer une garde à tour de rôle.
Faire appel à une nounou ou une baby-sitter est devenue monnaie courante aujourd’hui. D’ailleurs, on ne compte pas moins de 312 400 nounous en exercice en France. Un nombre en constante évolution. Malgré les importants besoins en garde d’enfants, les parents ont donc toujours la possibilité de choisir une nounou. Les nounous sont particulièrement appréciées des parents car elles sont disponibles et sont très à l’écoute. Les parents font totalement confiance à cette personne et sont ainsi rassurés de laisser leurs bambins. La solution de la nounou semble convenir à de nombreux parents. Et pour cause, la nounou peut être bénéfique pour l’enfant et faire gagner beaucoup de temps aux parents. La nounou s’occupera par exemple des devoirs et aidera les plus petits à s’affirmer. Les parents pourront travailler en toute tranquillité.
Rassurante et disponible, la nounou demeure alors l’option parfaite. En plus d’accompagner l’enfant dans son apprentissage, elle participe à l’éveil de ce dernier. Depuis 2015, Be My Nounou propose d’ailleurs d’aider les parents dans leur démarche de recherche de nounou. Choisie sur le volet et avec le plus grand soin, la nounou est une personne de confiance qui couvre l’enfant d’amour et d’attention tout en insufflant un vent de bonne humeur au sein de la famille. La baby-sitter est donc un atout de taille et il serait dommage de s’en priver. Grâce à des services comme Be My Nounou qui révolutionne les codes du baby-sitting, les parents se sentiront écouter et pourront agir en toute confiance. Le service mixant garde d’enfants et apprentissage de langues imaginé par la start-up a fait mouche à Paris dès sa création.
Avec Be My Nounou, les parents ont aussi l’opportunité de solliciter une nounou anglaise qui s’exprime avec l’enfant seulement dans sa langue maternelle. Le bambin enrichit alors sa culture et apprend la langue de façon ludique à travers des jeux, des chansons, et des vidéos. Tout au long de la journée, il est bercé par la langue de Shakespeare. Si par le passé, l’apprentissage de l’anglais était une compétence en plus, c’est aujourd’hui devenu incontournable. Et plus cet apprentissage se fait tôt, plus l’enfant a des chances de bien maîtriser la langue plus tard. Et pour cause, les enfants sont dotés d’une flexibilité cognitive incroyable qui leur permet d’intégrer une seconde langue d’une façon naturelle sans faire beaucoup d’effort.
En faisant appel aux services de Be My Nounou vous pouvez bénéficier d’une réduction ou crédit d’impôt de 50 % des dépenses supportées dans l’année (dans la limite de plafonds).L’avantage fiscal est calculé sur les dépenses que vous supportez effectivement. Ainsi, vous devez déduire de vos dépenses les aides que vous recevez pour vous aider à prendre en charge les frais de garde à domicile (par exemple, l’Apa, les aides perçues pour la garde des enfants, l’aide financière accordée par votre employeur).
Les plafonds annuels de dépenses sont les suivants : 12 000 € dans le cas général. Ce plafond est majoré de 1 500 € (par enfant à charge), sans que le plafond total puisse dépasser 15 000 €.
De plus vous pouvez bénéficier d’une aide de la CAF : si un de vos enfants à moins de 6 ans, la CAF vous offre une aide financière (PAJE) pouvant aller jusqu’à 85% des frais de garde.
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